28/01/2019
GFME actualité 117

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Actualité de la recherche scientifique mondiale 117 sur les glioblastomes



Amplification EGFR, une meilleure survie pour les patients de plus de 75 ans

Actualité n° 117 du 30/05/2005

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Auteurs : Kleinschmidt-Demasters BK, Lillehei KO, Varella-Garcia M., Départements de Pathologie (Dr Kleinschmidt-DeMasters), Neurologie (Dr Kleinschmidt-DeMasters), Neurochirurgie (Drs Kleinschmidt-DeMasters et Lillehei), et Médecine (Oncologie Médicale) (Dr Varella-Garcia), Université de Colorado Centre des Sciences de la Santé, Denver.

Des études Récentes ont identifié des différences biologiques fondamentales dans l'amplification des récepteurs du facteur de l'augmentation épidermique (EGFR) et la survie chez les patients âgés contre les plus jeunes malades avec le glioblastome. Le cycle Cellulaire qui étiquette des indices a aussi été trouvé pour être démesurément haut dans les plus vieux malades avec glioblastome GBM et peut contribuer au pronostic adverse connu dans cette cohorte. Cependant, le test n'a pas été mené sur un nombre important de malades d'âge très avancé. L'objectif est plus important, répartir l'amplification EGFR et les indices MIB-1 dans les malades avec Glioblastome GBM chez les patients de plus de 75 ans.

Résumé
Nous avons analysé 20 malades, 11 femmes et 9 hommes dans une fourchette d'âge de 75-79 ans pour 11 patients et 80-87 ans pour les 9 autres. Le tissu tumoral a été analysé par immunohistochimie pour mesurer la prolifération celulaire par l'index MIB-1 et par fluorescence pour l' amplification EGFR. Les données de la survie ont été fournies par l'hôpital du Colorado qui soignait les patients.

Resultats

L'index MIB-1 Moyen était haut (24.8%), mais les indices individuels n'ont pas correspondu avec la survie. L'amplification EGFR a été détectée dans 25% des cas, avec gain de chromosome 7 chez tous les patients. 95% des malades avaient soit l'amplification EGFR et/ou la polysomie du chromosome 7. La survie totale des patients est pauvre (moyenne de 4,6 mois), mais la survie était considérablement plus longue dans ceux avec amplification du gène EGFR (moyenne, 8,3 mois) contre ceux sans amplification (moyenne, 3,2 mois).

Conclusion
La présence d'une amplification du récepteur EGFR est un prophète considérable d'un meilleur temps de survie chez les patients âgés.

 


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